Télétravail, bi-résidence, retraite… Les urbains concrétisent leurs aspirations à une meilleure qualité de vie, mettant sous tension le marché des maisons à la mer et à la campagne.

En observant la frénésie d'achats qui s'est emparée du marché immobilier au printemps dernier, on pourrait croire que, à l'instar d'une "Rolex à 50 ans", celui qui n'était pas propriétaire de sa résidence secondaire au sortir du premier confinement avait raté sa vie. "C'est un peu excessif comme constat, et très parisien, sourit Olivier de Chabot-Tramecourt, directeur général du groupe Immobilier Mercure France. Mais il est vrai que de nombreux habitants des grandes villes avaient ressenti un impérieux besoin d'espace et de verdure." Plus aisés, et en l'absence des acquéreurs étrangers habituellement concurrents, les boomers se sont rués sur les résidences secondaires.

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